Catégorie : Porno

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Sortir de l’addiction : pourquoi ça prend du temps

 Sortir de l’addiction : un chemin difficile, mais possible

Sortir d’une addiction, ce n’est pas un déclic magique. C’est un combat. Un vrai. Long, exigeant… mais réellement possible.

Dans cette vidéo, un jeune homme raconte avec sincérité son parcours de libération. Il parle de ses rechutes, de ses petites victoires, de ses stratégies concrètes pour résister et avancer. Un témoignage fort pour ceux qui veulent s’en sortir… et pour ceux qui accompagnent une personne en lutte.

Parce que non, tu n’es pas seul. Et surtout, tu n’es pas condamné.

 

 

Reconnaître l’addiction : le premier pas vers la liberté

Ce qui m’a aidé à sortir de cette addiction, c’est d’abord d’accepter que j’étais vraiment dépendant. Me dire en face :

« Oui, ce que tu fais là, ce n’est pas bon. Il y a un problème. Mais tu vas te battre. »

J’ai dû comprendre que ça ne se règle pas en un jour. Ce n’est pas parce qu’on décide d’arrêter que ça s’arrête.

Chez moi, ça a pris deux ans.


Petites victoires : avancer malgré les rechutes

Ce qui m’a vraiment porté, c’est la logique des petites victoires :

  • Lundi soir, j’ai craqué tout de suite.

  • Mardi soir, j’ai tenu quelques secondes de plus… puis je suis tombé.

  • Mais un soir, je n’ai pas craqué.

Et ça, c’est une victoire.

Même si tu rechutes après, c’est une victoire. Il faut apprendre à les reconnaître. Sinon, tu ne verras que l’échec, et tu te diras que tu n’y arriveras jamais.

Mais ça vaut le coup de se battre. Et surtout, ça vaut le coup de changer de regard sur soi-même.


Fuir les occasions de rechute : une clé essentielle

Un autre levier fort pour moi : éviter les situations à risque.

Tu connais ce moment…

Tu es seul, tu scrolles sur ton canapé, tu tombes sur un contenu ambigu… et l’idée arrive.

C’est là que tout se joue.

Si tu commences à discuter avec toi-même, tu vas tomber.

Il faut agir tout de suite :

  • Éteins ton téléphone

  • Lève-toi

  • Prends une douche

  • Fais des pompes

  • Sors de chez toi

Fais autre chose. Immédiatement.

C’est souvent ce qui fait la différence.

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Pour aller plus loin :

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“Et si je leur avais fait du mal ?” – Le poids de la culpabilité

 

“Et si je leur avais fait du mal?” Le poids de la culpabilité après l’addiction au porno

Un combat personnel

On parle souvent de l’addiction au porno comme d’un combat personnel. Mais on oublie parfois les autres, ceux qui sont à l’écran.

Dans cette vidéo, un jeune homme partage ce qui le hante encore aujourd’hui : les visages qu’il n’arrive pas à oublier, et la culpabilité d’avoir participé, même passivement, à cette industrie.

 

Un témoignage bouleversant d’un jeune homme marqué par ce qu’il a vu dans les vidéos pornographiques. Il évoque sa culpabilité, et le besoin de demander pardon. Une vidéo sincère et percutante sur les conséquences humaines de la consommation de porno.

Un témoignage sobre, bouleversant.

 

 

“Quelque chose aussi qui m’a vraiment empêché de dormir pendant très longtemps, c’est ce que j’ai vu dans ces vidéos.

Les horreurs que j’ai regardées, je ne les oublie pas. Et ce qui me hante le plus, c’est de penser aux personnes derrière ces images. Je ne sais pas pourquoi… mais je pense souvent aux acteurs, aux actrices. Ceux et celles que j’ai vus pendant des années. Car je ne sais pas s’ils étaient heureux de faire ça. Et je ne sais pas ce qui les a poussés à y aller. Je ne sais pas s’ils ont gagné beaucoup d’argent, ou s’ils en ont juste eu besoin.

Un jour, si je veux vraiment me pardonner, il faudra que je leur demande pardon. Parce qu’ils sont entrés dans mon intimité. Et moi, je suis entré dans la leur. Ça, c’est quelque chose qui marque. On n’oublie pas les visages, ni ce qu’on a vu.

Même si je ne les ai jamais touchés, je pense que je leur ai fait du mal.”**

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Pour aller plus loin :

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Le témoignage choc d’une actrice du porno

Le témoignage choc d’une actrice du porno : “je ne pouvais plus respirer !”

Histoire d’une actrice de films X

Mélanie, ancienne actrice du porno, révèle une vérité trop souvent ignorée : derrière les scènes soi-disant « consenties», il y a parfois des actes de torture, de dissociation, et une profonde souffrance humaine. Cette vidéo revient sur son histoire, tirée du livre Sous nos regards, et interpelle chacun d’entre nous sur la banalisation de cette violence.

Le témoignage choc d’une actrice du porno

Mélanie raconte trois jours de tournage marqués par le viol, l’humiliation et la dissociation. Une vidéo pour dénoncer la face cachée du porno et alerter sur ses ravages.

Une vidéo pour dénoncer la face cachée du porno et alerter sur ses ravages.

Un appel à ouvrir les yeux — et à agir — pour les victimes… mais aussi pour ceux qui consomment sans savoir.

 

 

Il faut arrêter cette violence en réunion organisée, ce proxénétisme aggravé qui ne dit pas son nom.

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Pour aller plus loin :

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“Le porno abîme ton cerveau” – Ce que disent vraiment les études scientifiques

La pornographie abîme ton cerveau

On le sait peu, mais la pornographie a un effet direct et durable sur le cerveau.

Dopamine, addiction, attentes irréalistes, troubles de l’érection, mal-être profond…

 

 

Le porno change ton cerveau. Littéralement.

C’est un sujet dont on parle trop peu. Pourtant, la pornographie, accessible en quelques clics, est consommée par des millions de personnes chaque jour. Mais quels sont ses effets réels sur notre cerveau et notre bien-être ?

Des études montrent que la consommation régulière de porno modifie la structure du cerveau. Elle stimule le système de récompense en libérant une forte quantité de dopamine — le neurotransmetteur du plaisir… et de l’addiction.

À force d’être surstimulé, ton cerveau finit par s’adapter : il demande toujours plus pour ressentir la même chose. Résultat : ce que tu consommes influence directement ta vision du désir, du plaisir et des relations.

Tu savais que certains hommes finissent par être déçus de leurs rapports sexuels réels, parce qu’ils ne sont « pas à la hauteur » des scénarios exagérés du porno ?

D’ailleurs, selon une étude, 23 % des hommes de moins de 35 ans qui regardent du porno fréquemment souffrent de dysfonction érectile dans leurs rapports.

Et ce n’est pas tout.

Les personnes qui consomment régulièrement du porno rapportent :

  • plus de symptômes dépressifs,

  • une qualité de vie moins bonne,

  • un impact réel sur leur santé mentale et physique.

Alors : est-ce que ça en vaut vraiment la peine ?

Face à cette réalité, il est temps de se poser les bonnes questions :

  • Quel besoin suis-je en train de combler ?

  • Est-ce que cette habitude me fait grandir ?

  • Ou bien est-ce qu’elle m’enferme dans un cercle vicieux ?

La pornographie peut abîmer.

Mais s’en libérer, c’est possible.

C’est un chemin. Et tu peux l’emprunter.

 

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Pourquoi il est temps d’abolir la pornographie

 

Pourquoi il est temps d’abolir la pornographie: décryptage d’un fléau industriel

La France est l’un des plus gros consommateurs de porno au monde. Derrière cette banalisation, une réalité beaucoup plus sombre : violences, addictions, troubles sexuels, et destruction de la relation à l’autre. Cette vidéo décrypte les ravages de l’industrie pornographique et alerte sur l’urgence d’agir.

À partager largement pour briser le silence.

 

 

Abolissons la pornographie : une industrie violente et destructrice

En 2023, la France était le 3ᵉ pays au monde en consommation de porno.

Une pratique banalisée, mais qui peut avoir des conséquences graves :

addiction, troubles sexuels, violences, brouillage des repères.

Le porno, surtout lorsqu’il est visionné jeune, peut profondément déformer la vision de la sexualité.

Selon l’ARCOM (le régulateur des médias), un garçon sur deux a déjà vu du porno à 12 ans.

À 16 ans, ils sont près de 65 %.

Le problème ?

90 % des vidéos contiennent des violences physiques ou sexuelles.

Autrement dit, elles sont illégales au regard du droit français.

Pour Céline Piques, de l’association Osez le Féminisme,

le porno érotise la violence. Il banalise le viol, la domination, l’humiliation.

Des catégories comme teenager, daddy ou torture renvoient à l’inceste ou à la pédocriminalité…

Et pourtant, elles sont en accès libre, même pour les mineurs.

Les conséquences sont bien réelles :

  • Des garçons persuadés que les filles s’attendent à être frappées pendant un rapport.

  • Des filles incapables de dire non, car leurs repères sont brouillés.

  • Chez les adultes, une escalade vers des contenus de plus en plus violents.

Comme une drogue, il faut augmenter la dose pour ressentir quelque chose.

 

Un sexologue témoigne

Certains jeunes ne peuvent plus avoir de rapports sexuels normaux.

Le porno, c’est rapide, mécanique, centré sur l’image.

Mais le vrai désir vient du corps, de l’échange, du lien.

Peut-on alors parler de “porno éthique” ?

Pas vraiment. En réalité, pas du tout.

Le porno est une machine à broyer les femmes, comme le souligne un rapport sénatorial.

Son décor est un enfer, un nouvel esclavage.

Il déshumanise les acteurs et enferme les spectateurs.

À l’échelle industrielle, il génère des profits colossaux.

Même ceux qui veulent croire à un porno éthique peinent à en trouver un seul exemple.

Car ce qui déshumanise ne peut être éthique.

Les associations demandent simplement :

  • L’application de la loi.

  • La suppression des contenus illégaux.

  • La fin du proxénétisme et de la traite des êtres humains encouragés par cette industrie.

  • Et surtout, une vraie éducation sexuelle :

    • Qui parle de respect.

    • De désir réciproque.

    • De don de soi.

    • De retenue quand l’autre n’est pas prêt.

Parce que le véritable amour, ce n’est pas 20 vidéos par jour.

On peut être épanoui sexuellement sans un seul pixel d’image malsaine.

Stoppons cette violence pornographique !

Abolissons la pornographie.

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Pour aller plus loin :

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Comment parler de la pornographie à son enfant ?

Comment parler de la pornographie à son enfant ?

Que faire quand vous surprenez votre enfant en train de visionner une vidéo pornographique ? Le réflexe naturel est d’être choqué et de vouloir le réprimander vertement. Mais est-ce le meilleur réflexe ?

1. Comprendre son enfant

L’important est de favoriser le dialogue et l’écoute. Surtout, il convient de rester calme, même si, intérieurement et à juste titre, vous êtes heurté. Ensuite, lui demander ce qu’il pense de ces images. Il est important qu’il puisse exprimer ses émotions et se sentir écouté. Sinon, cela risque d’engendrer des frustrations voire un traumatisme qui sera difficile à soigner.

2. Dialoguer

S’il est choqué, vous pouvez lui dire que c’est normal parce que sont des images choquantes. Vous pouvez lui expliquer qu’elles ne reflètent pas la réalité mais qu’elles sont une simple mise en scène destinée à caricaturer l’amour. C’est une fiction jouée par des acteurs. Destinée à des adultes.
De plus il peut y avoir une dimension de violence, de sexisme ou de racisme qui ne reflète pas la encore toujours la réalité.

S’intéresser aussi à ce qu’il recherche, si son interrogation porte sur la sexualité et lui donner alors vos propres ressources ou celles d’associations dont c’est le rôle d’éducation à la vie, comme les ressources du Cler

3. Aller plus loin

Après, suivant l’âge de l’enfant, il peut être intelligent d’aller plus loin. Si c’est un adolescent, c’est peut-être une occasion d’évoquer la sexualité et le fait qu’elle est liée à plusieurs niveaux:
• par exemple, à la rencontre de l’autre différent. Ainsi, c’est la longue montée vers le différent. Elle s’enclenche dès le plus jeune âge, pour arriver à la maturité sexuelle et surtout affective. Pour faire ensuite le véritable choix d’un amour durable, rêve de chacun en général.
• et bien sûr, au don de la vie, qui procède de la complémentarité naturelle d’un homme et d’une femme. Surtout, insister sur la beauté naturelle de l’homme et de la femme, que la sexualité est neutre, mais dépend de l’usage qu’on en fait.

Enfin, réfléchissez ensemble sur les moyens à mettre en œuvre pour éviter qu’il se fasse à nouveau piéger et surtout répéter l’importance d’en parler, de ne pas se renfermer sur ce problème.

Si vous souhaitez dialoguer, nous sommes à votre écoute sur le chat’ :

 

Pour aller plus loin :

parler de sa dépendance
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Comment parler de sa dépendance à la pornographie ?

Comment parler de sa dépendance à la pornographie ?

Il est toujours difficile de parler de problèmes intimes, surtout quand il s’agit d’une addiction. Et pourtant, c’est essentiel pour pouvoir s’en sortir. On ne guérit jamais seul…

1. Prendre conscience

La première chose est de prendre conscience du problème, de parler de sa dépendance à la pornographie. Le drame peut être que nous sommes tellement habitués à consommer des vidéos pornographiques que nous ne rendons plus compte de la dangerosité : c’est devenu une banalité. Le problème est quand cette banalité a des répercussions sur votre comportement personnel et vis-à-vis des autres. Le risque d’isolement existe, de s’enfermer dans sa bulle. Et cette solitude peut conduire à des extrémités dangereuses (voir aussi ces conseils sur Gaeconseil). Donc, soyons humbles et commençons à regarder l’addiction en face.

2. Adopter une juste attitude

D’abord effectuer une prise de conscience. Puis,  plusieurs attitudes sont possibles.
* La première consiste à dire : « Je m’en sortirai moi-même ! » L’orgueil blessé, la fierté voudrait que ce soit nous-même qui réparions les pots cassés… Comme s’il suffisait de recoller les morceaux ! C’est trop facile : à force de ne compter que sur soi, on entre dans un cercle vicieux avec des rechutes continuelles et le désespoir en bout de course.
* La deuxième attitude est de se culpabiliser à outrance. « Je suis nul, vicieux. Je ne m’en sortirai jamais. C’est foutu ! » Ce n’est pas juste car nous n’avons pas à nous juger. Mais à nous accepter tel que nous sommes, avec nos qualités et nos fragilités. Et c’est surtout encore un manque d’espérance.
* La troisième attitude nous fait voir la réalité, en toute lucidité . « Oui il y a un problème. Oui, je suis accroc. Non je ne m’en sortirai pas tout seul. J’ai besoin d’une aide. » Le fait de le reconnaître est un premier pas, mais quel pas ! Cela demande beaucoup de courage et d’humilité d’accepter d’être aidé. Mais c’est la base de tout processus de reconstruction.

3. Comment se faire aider

Maintenant que vous êtes décidés à prendre les moyens pour vous en sortir et de vous faire aider, il reste à trouver la meilleure méthode. Déjà, si vous êtes sur notre site, ce n’est peut-être pas par hasard… Ce que nous vous proposons, c’est de pouvoir discuter par chat’, en toute discrétion et tout anonymat.

En effet, nous sommes une équipe de bénévoles chrétiens formés à une écoute bienveillante. Et donc aptes à vous proposer des solutions pour vous en sortir. La première est de prier, si vous l’acceptez, pendant neuf jours.En effet, par l’intercession d’un jeune Italien, Carlo Acutis, qui va être bientôt canonisé. Il a beaucoup œuvré par internet pour venir en aide à tous ceux qui sont en souffrance. De nombreuses grâces ont été obtenues à son intercession. Nous vous envoyons par mail la prière et nous engageons à la réciter, avec vous, de notre côté, pendant neuf jours.


Il existe d’autres moyens. Vous pouvez, par exemple, découvrir le site libre pour aimer. Il vous propose un accompagnement sur trente jours, avec des vidéos, des exercices, des conseils, pour vous aider à en sortir :


Un autre moyen, si vous êtes chrétien, est d’aller voir un prêtre. Puis de lui en parler. Enfin, de recevoir le sacrement de réconciliation, qui est le sacrement de la miséricorde de Dieu. Et ainsi redécouvrir combien Dieu vous aime. Car il a été jusqu’à donner son propre Fils pour vous sauver. Jésus, mort et ressuscité pour vous !

En conclusion, nous vous invitons à ne pas vous enfermer dans votre souffrance, mais d’accepter de la déposer en en parlant simplement. L’avenir ne se construit pas sur des individualités cloisonnées, mais sur une entraide pour avancer pas à pas, quelles que soient nos situations, nos blessures.

Si vous voulez discuter en toute bienveillance et anonymat, rejoignez-nous sur le chat’ :

 

« Heureux ceux qui pleurent, car ils seront consolés. » Matthieu 5,4

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La pornographie est-elle une drogue ?

La pornographie est-elle une drogue?

Il ne suffit pas de répondre oui pour clore le débat. Encore faut-il argumenter et se poser d’abord la question de savoir ce qu’est une drogue.

1. Qu’est-ce qu’une drogue ?

Le Petit Larousse Illustré donne la définition suivante : « Substance psychotrope généralement nuisible pour la santé, susceptible de provoquer une toxicomanie et consommée en dehors d’une prescription médicale. » Mais qu’est-ce qu’une substance psychotrope ? Si nous reprenons la définition du Petit Larousse Illustré, voici ce qui est écrit : « Se dit d’une substance chimique (alcool, médicament, etc.) qui agit sur le psychisme. »

2. La pornographie, une drogue ?

Si on s’en tient à ces définitions, peut-on qualifier la pornographie de drogue ? Clairement oui ! Même s’il ne s’agit pas de substance chimique à proprement parler, elle agit sur le psychisme.En effet à ce sujet, vous pouvez consulter notre article concernant les effets de la pornographie sur le cerveau . D’ailleurs il est ajouté, qu’une drogue est nuisible pour la santé .(Ce qui est le cas pour la pornographie). Et qu’elle peut engendrer une toxicomanie, c’est-à-dire un état de dépendance .Donc une fois qu’on a commencé, il devient très difficile de s’arrêter.

Or, le problème de la pornographie est que les images qu’elle génère, captive. Et cela peut commencer à n’importe quel âge… Et plus vous commencez tôt, plus les dégâts peuvent être importants.

En conclusion, ce n’est pas parce que l’usage en est autorisé qu’il faut considérer la pornographie comme neutre. Car, la cigarette reste en vente libre, mais on en connaît les conséquences au niveau du cancer du poumon…

Si vous souhaitez discuter en toute discrétion et tout anonymat sur ce sujet, venez nous rejoindre par chat’ :

« Que le Seigneur soit béni !
Jour après jour, ce Dieu nous accorde la victoire. » Psaume 67, 20

 

Pour aller plus loin :

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Comment devient-on addict à la pornographie ?

 

Comment devient-on addict à la pornographie ?

Le problème de l’addiction à la pornographie est récurrent : on sait quand on commence, on ne sait pas toujours quand ça s’arrête. C’est un engrenage infernal dans lequel il suffit de glisser un doigt pour risquer de se faire avaler tout cru. Mais quand commence une addiction ?

1. Qu’est-ce qu’une addiction ?

Selon le Petit Larousse Illustré, on entend par « conduite addictive » un comportement répétitif plus ou moins incoercible et nuisible à la santé : toxicomanie, alcoolisme, tabagisme, boulimie, anorexie…
Donc, pour faire simple, c’est un comportement qui devient incontrôlable et qui porte atteinte à notre santé, tant physique que psychique et spirituelle. En ce sens la pornographie peut provoquer une addiction à force de répétition : néfaste par nature, comme la drogue, plus on en consomme, plus on en devient dépendant avec tous les effets que cela engendre.

2. Comment devient-on addict à la pornographie ?

Il suffit malheureusement d’une fois… C’est comme pour tout : l’alcoolisme commence par un verre…puis par un deuxième, un troisième…jusqu’à l’ivresse ! C’est pareil pour la pornographie : il a suffi de regarder une vidéo une première fois. On a été séduit, on veut y revenir, on ne sait plus s’en arracher sans prendre conscience que les images s’impriment durablement dans notre cerveau, une hormone de dépendance se crée, entraînant un besoin irrépressible qui, une fois assouvi, laisse paradoxalement un vide et un désir de recommencer pour compenser ce vide.

3. Comment éviter l’étincelle qui provoque l’incendie ?

Un moyen très simple pour ne pas commencer est d’éviter de se mettre en situation de vulnérabilité : ce n’est pas parce que des camarades visionnent des vidéos malsaines qu’il faut les regarder sous prétexte de faire bien, d’être comme tout le monde…
Le courage est de savoir dire non : au nom des valeurs, de la morale, du respect d’autrui, il faut accepter d’aller à contre-courant, quitte à se faire marginaliser, ostraciser. Jésus l’a dit lui-même : « La vérité vous rendra libres. » Jean 8 ;32. C’est aussi un témoignage à rendre : beaucoup attendent des personnes qui aient l’audace d’appeler un chat un chat au lieu de se taire et de laisser faire.

Pour conclure, le meilleur antidote à une addiction est l’humilité et la vigilance : nul ne peut dire qu’il ne tombera pas un jour. Mais l’important, dans ce cas, n’est pas tant de tomber que de se relever.

Si vous souhaitez discuter en tout anonymat et discrétion, nous sommes à l’écoute par chat’ :

« Moi, je suis vainqueur du monde ! » Jean 16,33

Pour aller plus loin :

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Comment combattre la tentation?

Comment combattre la tentation?

Que faire quand survient la tentation de visionner des vidéos à caractère pornographique ? D’abord, il est important de prendre conscience que c’es vidéos ne sont pas bonnes pour nous. Je vous renvoie ici à l’article dédié sur « les méfaits de la pornographie »

1. Se poser les bonnes questions

Une fois la prise de conscience effectuée, il est utile de s’interroger en toute lucidité et sans chercher à s’accuser plus que nécessaire : « Pourquoi suis-je tenté de regarder ces vidéos ? Est-ce la première fois ? Où est-ce que j’en suis ? Ai-je le désir de prendre les moyens pour éviter de les regarder ?… »

2. Éviter les occasions

La première chose, pour éviter de se retrouver dans une situation ambigüe, est un verrouillage qui empêchera l’accès à de telles vidéos. Vous pouvez, par exemple, demander à un ami de confiance, de mettre en place un accès parental avec un code qu’il sera le seul à connaître. Il n’y a aucune honte à faire cette demande : mieux vaut être aidé que de s’enfermer tout seul dans un cercle vicieux.

3. Quand la tentation survient

Malgré notre bonne volonté, il peut arriver que la tentation survienne. Parce qu’il ne faut pas croire que le fait de mettre en place des pares-feux va éliminer toute tentation : nous ne sommes que des êtres humains…
D’abord ne pas se crisper. Mieux vaut se lever et faire autre chose : par exemple sortir et marcher, pratiquer une activité sportive… Il est plus intelligent de contourner l’obstacle que chercher à le franchir à tout prix.
Ensuite, si la tentation demeure, en tant que chrétien, je vous invite à prier votre ange gardien pour qu’il vous protège. Vous pouvez aussi prier Dieu ou la Vierge Marie pour qu’ils vous assistent. Surtout, soyez ferme dans votre résolution de ne pas commencer, parce qu’une fois qu’on a mis le pied dans l’engrenage, tout va très vite…

4. Ne pas rester seul

Une des causes de la tentation peut être liée à la solitude. Ne restez pas seul face à votre problème ! Acceptez d’en parler : ce sera le premier pas pour s’en sortir. Comment ? Sur notre site sosporno.net, nous vous proposons un chat en tout anonymat et discrétion. Nous sommes à votre écoute dans la bienveillance. Nous pouvons vous proposer de prier ensemble, chacun de son côté, pendant neuf jours Carlo Acutis, jeune Italien qui sera tout prochainement canonisé et qui a beaucoup œuvré pendant sa courte vie, à aider tous ceux qui étaient blessés par la vie.https://www.sosporno.net/priere-de-liberation/

Un autre moyen peut être de suivre un parcours en ligne qui propose un accompagnement spirituel et psychique pendant trente jours, personnalisé, par des professionnels : prêtres, thérapeutes…https://www.sosporno.net/connais-tu-le-parcours-libre-pour-aimer/
L’important est de prendre les moyens. Paris ne s’est pas fait en un jour, donc il convient d’être patient sur la forme mais de rester déterminé sur le fond. Et si, il arrive que vous tombiez, l’essentiel n’est pas tant de chuter que de se relever. La vie n’est jamais un chemin lisse.

« N’ayez pas peur ! » Premières paroles de saint Jean Paul II pour inaugurer son pontificat.